Dans Collectionneur & Chineur du 16 novembre 2007, 3 pages présentent le marché et sa diversité :
Nous en remerçions vivement la rédaction.
Le site du seul marché antiquité-brocante intra-muros de Paris
Dans Antiquités Brocante d’octobre 2007, deux articles parlent des Puces de Vanves. Le premier, sous le titre STAR DE LA CHINE – Jacques Garcia Esthète royal, nous raconte le parcours de ce décorateur mondialement connu qui nous fait l’honneur de parler plusieurs fois de notre marché : « Enfant, j’accompagnais mon père aux Puces. Nous allions à Vanves et surtout à Montreuil. Ce qu’il y avait de mieux à l’époque… ». Le journaliste ajoute : « des ventes aux enchères aux Puces de Vanves, Jacques Garcia ne boude aucun terrain de chine ». A la fin de l’article, parmi les cinq adresses fournies par le décorateur : « Le marché aux Puces de la Porte de Vanves à Paris (14). Samedi et dimanche matin. Sans doute encore le meilleur endroit pour chiner des objets peu chers et vraiment sympas ». Nous remercions Jacques Garcia et la rédaction d’Antiquités Brocante. Le deuxième article, sous le titre Une semaine dans la vie d’un broc, nous présente en huit pages la vie professionnelle d’un jeune collègue, depuis ses études jusqu’à l’installation dans le métier, puis nous décrit sa semaine type : achats à Drouot, ventes sur des déballages occasionnels et, tous les dimanches, sur les Puces de Vanves, « son QG ».
Samedi 19 mai 2007, un de nos collègues présente un « objet insolite » dans le reportage tourné aux puces de Vanves.
Parce que c’est un lieu qui vit, qui n’est pas édulcoré, qu’on n’y a pas sa langue dans sa poche, parce qu’on peut y ressentir l’ivresse du coup de foudre, parce qu’on y débarque le matin avec la marque de l’oreiller sur la joue, et qu’on s’y réveille très vite la tête au fond d’un carton : très longue vie aux puces de Vanves !
Philippe J.
***
Merci Philippe !
Samedi 10 mars 2007, Gonzague SAINT BRIS est l’invité sur FR3 de l’émission Tous à la Brocante.
Il confie avoir trouvé à Vanves une lettre d’Eugène Delacroix chez « Monsieur André » qui vend des livres anciens.
L’émission est complétée par la diffusion d’un sujet sur les objets insolites tourné à Vanves chez deux de nos collègues de l’avenue Marc Sangnier.
Une nouvelle parution : dans The Paris Times – magazine gratuit en langue anglaise, distribué notamment dans les Offices de Tourisme des différents arrondissements parisiens, les librairies et bistrots anglais et américains, les Ambassades et Centres Culturels anglophones, ainsi que dans les grands hôtels (le Meurice par exemple).
Un marché aux Puces, c’est avant tout un bordel, des marchands grognons, l’absence de structure sauvée par l’auto-gestion, une p’tite toile 18ème à €250, marcher dans une crotte de chien (ça, je pourrais m’en passer), un parcours du combattant pour obtenir une facture digne de ce nom, la chasse, l’affut, la découverte, la surprise, l’autenticité, la guerre des places de parking, un profil qui se métamorphose au lever du soleil (mince, c’était pourtant bien là que j’ai acheté ce mobilier de jardin!…), la bétise des acheteurs qui se connaissent et pourtant qui s’ignorent, l’horizon de ces marchands frigorifiés en hiver qui s’ouvre aux premiers rayons de soleil (parfois!), les meilleurs croissants de Paris au carrefour et un café filtre insultant à la caravane de l’angle, des têtes d’anges 17ème à coté d’une veste de velours élimée… Vanves c’est tout ça et bien davantage, mais si je me lève à 5h30 pour me taper la moitié du périphérique gélé en hiver sur mon scooter, il doit bien y avoir une bonne raison quelquepart. Longue vie aux Puces de Vanves, telles qu’elles sont.
Fabrice.
***
Merci Fabrice.